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Die Grundausrüstung
Darstellungszeitraum: 1907-1915 /
L'équipement de base
reconstitution 1907-1915
Bevor man mit der Beschaffung von Uniformteilen
und Ausrüstungsgegenständen beginnt, sollte eines
nicht vergessen werden: das Aussehen des Soldaten!
Jedes Mitglied sollte bei der Darstellung gut rasiert sein und Bart, bzw. Schnurrbart wie in der damaligen Zeit,
sowie einen dazu passenden, kurzen Haarschnitt
tragen. Piercing, oder andere moderne „Körperdeko-rationen“ passen nicht zu unserer Darstellung.
Avant de commencé à s'équiper, une chose ne doit
pas être oubliée : l'apparence du soldat !
Chaque membre doit si possible être bien rasé ou porté barbe ou moustache conforme à l'époque ainsi que d'avoir les cheveux coupés courts. Toute "décoration corporelle" comme le percing est à poscrire.
1.Feldmütze (Krätzchen) Mod.1910
mit Landeskokarden /
Mütze Mod.1910 avec cocardes nationales
2.Pickelhaube (Helm) Mod.1895
(Bayern Mod. 1896) aus Leder. Helmüberzug
aus schilffarbenem (graugrünem) Baumwollstoff
für alle Infanterie- und Feldartillerieregimenter
mit, aus rotem Tuch angebrachter, Regiments-
nummer. Kurz nach Kriegsausbruch wurde auf
grüne Regimentsnummern umgestellt.
Pickelhauben aus Plastik sind nicht gestattet! /
Pickelhaube (casque à pointe) Mod.1895
(Bavière Mod.1896) en cuir. Couvre-casque en
coton de couleur gris-vert pour toutes les unités
d'infanterie et d'artillerie de campagne avec le
numéro de régiment en rouge cousu sur le
devant. Dès le début du conflit les numéros
d'unités apparurent en vert.
Les casques à pointe en matière plastique
ne sont pas autorisés !
3.Halsbinde aus grauem oder grünem Stoff.
Jeder Soldat erhielt bei der Einkleidung
zwei Halsbinden /
Halsbinde (tour de cou) en tissu de couleur gris ou vert. Chaque soldat en touchait
deux exemplaires.
4.Feldrock Mod.1907/10 oder Feldrock
Mod.1913 (Landsturmschnitt). Beide in
feldgrauer Farbe. Knöpfe je nach Landes-
kontingent (für Bayern, Löwenknöpfe; für
Preußen, Kronenknöpfe; usw.). Schulterklappen
mit den Regimentsnummern und/oder Namens-
züge, in rot. Paspelierung in der Farbe des
Armeekorps (I.AK weiß, II.AK rot, III.AK gelb,
IV.AK blau). Ab dem Jahr 1915 wurden die
Schulterklappen mit weißer Paspelierung, bis
auf wenige Ausnahmen, in der gesamten
kaiserlichen Armee getragen /
Vareuse Mod.1907/10 ou vareuse Mod.1913
(coupe Landsturm).
Les deux en couleur Feldgrau. Boutons avec
le symbole du royaume (lion pour la Bavière,
couronne pour la Prusse, etc.).
Pattes d'épaulettes avec numéro de régiment
en rouge et paspoil de la couleur du corps
d'armée (1er C.A. blanc, 2e C.A. rouge, 3e C.A.
jaune, 4e C.A. bleu). À partir de 1915, mis à part
quelques exceptions, le paspoil des pattes
d'épaulettes devint blanc pour toute l'armée.
5.Hose steingrau Mod.1907/10 mit seitlichen
Vorstößen (Paspelierung) in ponceaurot.
Die Hose wurde mit Hosenträgern getragen/
Pantalon gris-pierre Mod.1907/10 avec paspoil
latéral de couleur rouge. Les pantalons se
portent avec des bretelles.
6.Infanteriestiefel (Knobelbecher) aus natur-
farbenem Leder mit genagelter Ledersohle.
Die Stiefel wurden ab 1915 geschwärzt.
Stiefel mit Gummisohlen sind nicht authentisch!/
Bottes de marche en cuir fauve avec semelle
cloûtée. À partir de 1915, les bottes furent
noircies. Les bottes avec des semelles
en caoutchouc ne sont pas authentiques !
7.Koppel aus lohgarem (naturfarbenem) Leder
mit Kastenschloss aus Messing mit silbernem
Landesmotto (preußisch, württembergisch,
bayerisch, usw.) Ab 1915 Koppelschloss aus
feldgrau lackiertem Eisenblech mit eingeprägtem
Landesmotto und geschwärztem Leibriemen/
Ceinturon en cuir fauve et boucle de cein-
turon en laiton et symblole de duché ou de
royaume de couleur argentée (Prusse, Württem-
berg, Bavière, etc.) À partir de 1915, boucle de
ceinturon peinte en Feldgrau et ceinturon de cuir
noir.
8.Das Lederzeug war am Anfang schwarz. Bei
der Mobilmachung und zu Anfang des Krieges
wurde naturfarbenes Leder ausgegeben.
Ab mitte 1915 wurde alles geschwärzt /
Les éléments en cuir étaient au début noir.
Lors de la mobilisation et au début de la guerre
un cuir de couleur fauve fut distribué. À la moitié
de 1915, tous les cuirs furent noircis.
9.Brotbeutel Mod.1888 und Brotbeutelriemen
aus wasserdichtem, braunem Baumwollstoff mit
einer auf der Außenseite angebrachten Feldflas-
chenbefestigung, bestehend aus einem
eisernen, vernickelten Ring zum Einhängen der
Feldflasche und einer darunter angebrachten
Lederschlaufe zum Durchziehen des Knopf-
riemens der Feldflasche. Ab 1915 wurden die
Brotbeutel aus grauem, wasserdichtem Baum-wollstoff getragen. Brotbeuteln mit zwei Feld-
flaschenbefestigungen sind nicht authentisch!/
Brobeutel (musette à pain) Mod.1888 et
bretelle de musette en coton de couleur
brunâtre étanche avec une fixation sur le côté
gauche pour la gourde. À partir de 1915, le coton
des musettes fut teinté en gris.
Les modèles possèdant deux fixations ne sont
pas authentiques !
10.Feldflasche Mod.1893 oder 1907, beide aus
Aluminium. Die Feldflasche ist mit braunem
Filzbezug überzogen /
Gourde Mod.1893 ou 1907 en aluminium.
La gourde est recouverte d'une enveloppe de
feutrine brunâtre.
11.Trinkbecher Mod.1893 aus Aluminium.
Der Trinkbecher wird im Brotbeutel mitgeführt /
Gobelet Mod.1893 en aluminium. Le gobelet
trouve sa place dans la musette à pain.
12.Kochgeschirr Mod.1910 oder 1915. Das Koch-geschirr wird auf die Klappe des Tornisters,
Deckel nach rechts, geschnallt /
Kochgeschirr (gamelle) Mod.1910 ou 1915.
La gamelle se fixe sur le dessus du sac à
dos, couvercle regardant vers la droite.
13.Spaten Mod.1898 oder Beilpicke. Zur Standard
ausrüstung trugen die Soldaten den Spaten.
Dieser wurde in einer Ledertasche zusammen
mit dem Bajonett am Koppel getragen. Teilweise
wurde auch die Beilpicke von Soldaten mitge-
führt. Klappspaten sind nicht authentisch! /
Pelle Mod.1898 ou pioche. La plupart des
soldats portaient des pelles. Cette dernière était
portée au ceinturon avec un porte-pelle en cuir
ensemble avec la baönette. Mais la pioche était
également présente, quoique plus rarement.
Les pelles pliantes ne sont pas authentiques !
14.Troddel. Die Troddel ist das Erkennungs-
zeichen der Kompanie. Ein Muss. Jeder Soldat
ist verpflichtet, eine Troddel am Koppelschuh zu
tragen.Trug ein Soldat keine Troddel, war dies
ein Zeichen dafür, dass er bestraft wurde! /
Dragonne. Insigne de la compagnie. Un must.
Chaque soldat doit porter sa dragonne au porte-
baïonette. Pas de dragonne est le signe que
le soldat a été puni !
15.Tornister (Affe) Mod.1895, 1907, 1913.
Mit Ausnahme des Mod.1913 sind die Friedens-
tornister außen komplett mit Kalbfell bezogen,
Strichrichtung des Fells senkrecht. Schon beim
Mod.13 wurden der Deckel und die untere
Klappe bereits aus Segeltuch hergestellt.
Bei Kriegsbeginn wurde das Kalbfell durch
wasserdichtes Segeltuch ersetzt. Alle Tornister
haben einen mit Stoff verkleideten Holz- oder
Geweberahmen. Die Trage- und Hilfsriemen
sowie die Mantel- und Kochgeschirriemen waren im Frieden lohgar (braun). Ab 1915 wurden alle
Lederteile geschwärzt. In und auf dem Tornister
wurden die Wäsche, Schnürstiefel, Putzzeug,
eiserne Ration, Waschzeug, Zeltausrüstung,
Mantelrolle, Essgeschirr, usw. mitgeführt.
Tornister ohne einen mit Stoff verkleideten Holz-
oder Gewebe- rahmen sind nicht authentisch! /
Tornister (sac à dos) Mod.1895, 1907, 1913.
Exception faite du modèle 1913, tous les sacs à
dos du temps de paix sont entièrement recou-
verts de poil de veau. Le sens du poil est ver-
tical. À partir de 1913, le couvercle et le rabat
inférieur ont été fabriqués en toile. Dès le début
de la guerre, le poil le poil de veau a été rem-
placé par de la toile étanche.Tous les sacs à
dos sont confectionnés avec un cadre en bois
recouvert de tissu. Les lanières de cuir compo-
sants le sac à dos passent en 1915 de la cou-
leur cuir fauve à noir. Dans et sur le sac,
le soldat y porte le linge, une paire de chaus-
sures basses, les outils de nettoyage, la "por-
tion de fer", un nécessaire de toilette, l'équipe-
ment de la tente individuelle, le manteau,
la gamelle, etc…
Les sacs à dos non pourvus d'un cadre en bois
garni de tissu ne sont pas authentiques !
16.Patronentaschen Mod.1887/88, 95, oder 1909.
Zu allen Darstellungszeiträumen des Krieges
können die verschiedenen Ausführungen getra-
gen werden. Das Modell 1887/88 ist besser für
Pionier-, das Modell 95 für Landwehr- und Land-
sturmdarstellung geeignet. Die frühen Modelle
(87/88 und 95) wurden bereits ab Beginn des
Krieges in schwarzem Leder ausgegeben.
Das Modell 1909 war anfangs braun, wurde ab
1915 geschwärzt /
Cartouchières Mod.1887/88, 95, ou 1909.
Différents modèles de cartouchières peuvent
être portés lors des reconstitutions. Le modèle
1887/88 est à utiliser avec l'uniforme de génie.
Le modèle 1895 se prête mieux dans le cadre
du Landwehr ou du Landsturm. Les premiers
modèles de cartouchières ont été dès le début
du conflit distribués en cuir noir. Le modèle 1909
a été au début en cuir fauve, avant d'être com-
me tous les cuirs noirci à partir de 1915.
17.Fußlappen. Die einfachen Soldaten trugen
Fußlappen in den Infanteriestiefeln. Die Fuß-
lappen waren aus Leinen- oder Baumwollstoff
hergestellt. Das galt auch für die Unteroffiziere.
Für die Darstellung können aber graue Socken
angezogen werden. Nach Möglichkeit, keine
bunten Socken! /
Fußlappen (chausettes russes). Les simples
soldats portaient les Fußlappen dans les bottes
de marche. Elles étaient fabriquées en lin ou en
coton. Ceci était également valable pour les
sous-officiers. Pour la reconstitution, l'on peut
porter des chausettes grises. Si possible, éviter
les chausettes de couleurs !
18.Unterhosen und Hemd. Diese Bekleidungs-
teile sieht man zwar nicht wenn man die Uniform
trägt, aber sie gehören unbedingt zur Grund-
ausstattung eines Soldaten. Es empfiehlt sich
nach alten Bekleidungsteilen zu suchen. Hem-
den und Unterhosen sind noch auf Flohmärkten
zu finden. Bei den Hemden kann man auch
weiße Trachtenhemden ohne Stickerei und ohne
Kragen über Trachtenhersteller beziehen.
Jeder Soldat besaß zwei Stück von der Unterbe-
kleidung.
T-shirts oder moderne Hemden sind nicht
authentisch! /
Caleçon et chemise. Bien que ces deux pièces
de vêtements ne soient pas visibles lorsque l'on
porte l'uniforme ; il n'en demeure pas moins
qu'elles font partie de l'équipement de base.
Le mieux est de trouver de vieux vêtements.
Chemises et caleçons se trouvent encore aisé-
ment sur les marchés aux puces. Chaque soldat
possèdait deux pièces de chacun.
Les t-shirts et autre chemise moderne ne
sont pas authentiques !
19.Mantel Mod.1908. Der Mantel 1908
war von grauem (hellgrauem) Grundtuch und
wurde durch eine Reihe von sechs blanken
Knöpfen geschlossen. Knopffarbe Tombak oder
Nickel. Um das Gepäck der Mannschaften zu
erleichtern, wurde ab 1908 dieser Mantel ohne
Futter ausgegeben. Der Mantel sollte nur noch
gegen kühle Witterung und Regen schützen;
gegen strenge Kälte erhielten die Soldaten
Leibbinden, Kopfschützer und Pulswärmer.
Auf dem Kragen waren rote Kragenpatten ange-
bracht. Der Kragen war schmal gehalten und
sollte aufgerichtet nur noch den Hals bedecken.
Zum Schließen des hochgeschlagenen Kragens
waren an der Unterseite eine Schlaufe und ein
Knopf angebracht. Man sollte also für die frühe
Darstellung den grauen Mantel Mod.08 tragen. Wird der Mantel vom Soldaten getragen, müs-
sen Koppel, Patronentaschen, Seitengewehr, Schanzzeug, Brotbeutel und Feldflasche über
dem Mantel liegen. Wird der Mantel nicht
getragen, ist er, zusammen mit der Zeltbahn,
auf den Tornister geschnallt.
Da Veranstaltungen bei schlechter und kalter
Witterung durchgeführt werden, ist es von Vorteil
sich einen Mantel zu beschaffen/
Manteau Mod.1908. Le manteau 1908 était fait
d'un tissu de laine grise (gris-clair) et était fermé
par une rangée de six boutons brillants. La cou-
leur des boutons était soit de teinte cuivrée ou
nickel. À partir de 1908, ce manteau fut délivré
sans doublure pour alléger le paquetage. Le
manteau ne devait plus à présent que protéger
contre les fraîcheurs de la météo et contre la
pluie ; pour se prémunir des frimas, les soldats
touchaient des chemises d'hiver, des protège-
têtes en laine et des mitaines. Des pattes de col
rouge (couleur de l'infanterie) couvraient le col.
Le col était taillé étroit et ne devait une fois
redressé ne recouvrir que le cou. Un passant et
un bouton servaient à fermer le col. Pour des
reconstitutions d'avant 1915, le manteau 1908
est à porter en priorité.
Dans le cas ou le manteau est porté, ceinturon,
cartouchières, baïonette, pelle, musette à pain
et gourde doivent reposer sur le manteau. Si le
manteau n'est pas porté, il est enroulé et fixé
avec la toile de tente sur le sac à dos.
Comme certaines manifestations se déroulent
par mauvais temps, il est avantageux de pos-
sèder un manteau.
20.Zeltausrüstung Mod.92. Zur Ausstattung aller
Unteroffiziere und Mannschaften der Fußtruppen
gehörte eine Zeltausrüstung. Die tragbare Zelt-
ausrüstung 92 bestand aus der Zeltbahn mit
Zeltleine, dem dreiteiligen Zeltstock und drei
Zeltpflöcken („Heringen“).
Die Zeltbahn von 165x165 cm Größe bestand
zunächst aus braunem wasserdichtem Baum-
wollstoff. Schon bald nach Kriegsbeginn stellt
sich heraus, dass die außen auf dem Tornister
geschnallten Zeltbahnen zu auffällig waren und
ein gutes Ziel boten. Um die unvorteilhafte rot-
braune Färbung zu beseitigen, wurde im Oktober
1914 eine neue Zeltbahn aus grauem Stoff mit
Knöpfen aus Messing eingeführt/
Équipement de tente individuelle Mod.92.
Tous les sous-officiers et soldats des troupes à
pied emportaient avec eux un équipement de
tente individuelle. L'équipement 92 était cons-
titué de la toile de tente, de cordelettes, d'un
mât en trois parties et de trois piquets.
La toile de tente (165x165cm) était au début
confectionnée dans un tissu de coton étanche
de couleur brunâtre. Au début du conflit, la toile
de tente de cette couleur représentait un incon-
vénient une fois fixée sur le sac à dos. Elle était
trop visible. Ainsi, dès octobre 1914, une nou-
velle toile de tente à dominante grise et com-
prenant des boutons en laiton fut mise en
fabrication.
21.Seitengewehre Mod.1898 lang, 98/05 oder
1884/98. Unteroffiziere ohne Portepee und Mann-schaften der unberittenen Truppen waren mit
einem Seitengewehr bewaffnet. In der Regel
bestand die dazugehörige Scheide aus ge-
schwärztem Leder mit Messing- oder Stahlbe-
schlägen. Die Seitengewehre Mod.98, 98/05 und
84/98 können für Darstellungen des Zeitraums
zwischen 1907 und 1915 benutzt werden.
Die Modelle 98 mit Lederscheide und 98/05 mit
Leder-/Stahlscheide wurden von Infanteristen,
Jägern, Schützen und Pionieren getragen.
Das Modell 84/98 mit Leder-/Stahlscheide war
am Anfang des Krieges nur für die MG Truppen
vorgesehen. Alle Seitengewehre sind mit Hilfe
des Koppelschuhs am Leibriemen (Koppel) zu
tragen. Am Koppelschuh ist auch die Kompanie-
troddel in der entsprechenden Kompaniefarbe
angebracht/
Baïonettes Mod.1898 long, 98/05 ou 1884/98.
Les sous-officiers sans épée et les soldats
(cavaliers exclus) étaient tous armés d'une
baïonette. En règle générale, le fourreau de la
baïonette était en cuir noir avec les enbouts en
laiton ou en acier. Les baïonettes Mod.98, 98/05
et 84/98 sont appropriées pour des reconsti-
tutions comprises en 1907-1915. Les modèles
98 avec fourreau en cuir et 98/05 avec fourreau
cuir ou métal ont été portés par les fantassins,
les chasseurs et les sapeurs. Le modèle 84/98
avec cuir ou métal, était en début de guerre
porté uniquement par les unités de mitrailleurs.
Toutes les baïonettes doivent être portées au
ceinturon à l'aide du porte-baïonette. Sur ce
dernier, se noue également la dragonne de
compagnie avec la couleur propre à chaque
compagnie.
22.Gewehr Mod.1898 oder 1888. Das Gewehr war
die Hauptwaffe der Infanterie, Jäger, Schützen
und Pioniere. Zu Kriegsbeginn war das Gewehr
98 am weitesten verbreitet. Das Kaliber betrug
7,9 mm, die Länge 125 cm und das Gewicht im
ungeladenen Zustand 4,1 kg. Die Landwehr- und
Landsturmformationen waren mit dem älteren
Gewehr 88 ausgerüstet. Während des Krieges
musste es aus Mangel an Gewehren auch an
aktive Infanterieregimenter ausgegeben werden.
Das 125 cm lange Gewehr vom Kaliber 7,9 mm
wog ungeladen 3,8 kg.
Bei Infanteriedarstellung vor 1898 kann das
Gewehr 88 auch benutzt werden/
Gewehr Mod.1898 ou 1888. Le Gewehr était
l'arme principale de l'infanterie, des chasseurs et
des sapeurs. Le Gewehr 98 était au début du
conflit l'arme la plus répandue. Il avait un calibre
de 7,9 mm, une longeur de 125 cm et un poids
non-chargé de 4,1 kg. Les unités de Landwehr et
de Landsturm étaient équipées avec une arme
plus ancienne : le Gewehr 88. Ce dernier, suite à
une pénurie de Gewehr 98 fut également distri-
bué à des troupes actives. D'une longeur de 125
cm, d'un calibre de 7,9 mm, l'arme pesait 3,8 kg.
Le Gewehr 88 peut être aussi utilisé lors de re-
constitutions d'avant 1898.
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