Zubehör für den Soldaten
Darstellungszeitraum: 1907-1918 /
Les options pour le soldat
reconstitution 1907-1918

1.Schirmmütze Mod.1910. Nicht nur Offiziere
trugen Schirmmützen, auch den Unteroffizieren
und Mannschaften war es erlaubt die Schirm-
mütze zu tragen. Bedingung dafür war, dass sie
sich die Schirmmütze selbst Beschaffen. Die
Schirmmütze durfte von den Unteroffizieren
und Mannschaften nur außerhalb der Kaserne
zusammen mit der Ausgangsuniform getragen
werden/
Schirmmütze Mod.1910. La Schirmmütze ou
casquette à visière n'était pas seulement portée
par les officiers. Les sous-officiers et hommes
du rang pouvaient également la porter. Mais à
une condition : il fallait pouvoir se payer la
casquette et cette dernière ne pouvait être porter
qu'à l'extérieur de la caserne, en permission.

2.Drillichanzug. Zum Exerzier- und normalen
Kasernendienst wurde der Drillichanzug getra-
gen, ein einfacher "Arbeitsanzug" aus ge-
bleichtem, ungefärbtem Leinen- bzw. später
Baumwollkörper. Dieser Arbeitsanzug bestand
aus einer Jacke und einer Hose. Auf dem Kopf
trug der Soldat seine Mütze, entweder die blaue Mütze (vor 1907) oder dann die feldgraue Mütze
(ab 1907). Der Drillich wurde ohne Koppel getra-
gen. Am Hals wurde die Halsbinde angepaßt.
Als Schuhe wurden dann Stiefel oder Schnür-
schuhe angezogen.
Dieser Anzug war sehr leicht zum gebrauchen.
Man konnte in leicht waschen. Da es keine
Waschmaschine gab, wurde dieser Anzug ein-
fach gekocht. Die andere Anzüge aus Wohl
konnte man nur abbürsten. Also wurden die
geschont /
Drillichanzug (uniforme de travail). L'on por-
tait lors des exercices et de la vie en caserne
un uniforme de travail connu sous le nom de
"Drillich". Il était fait de tissu en lin très pâle,
sans couleur et plus tard de coton. Il était com-
posé d'une veste et d'un pantalon. Le soldat
portait sur la tête soit une mütze de couleur bleu
(avant 1907) ou alors une mütze de couleur
feldgrau (à partir de 1907). On le portait sans
ceinturon. Au cou était ajustée la Halsbinde.
En guise de chaussures les bottes ou les
chaussures basses.
Ce costume était d'un entretien facile et aisé à
laver. Comme les machines à laver n'existaient
pas encore, le Drillich était tout simplement
bouilli. Tout le contraire des autres effets vesti-
mentaires en laine, qu'on ne pouvait que bros-
ser. Ces habits étaient donc préservés si pos-
sible d'une trop grande utilisation.

Fortsetzung folgt / À suivre

Fotos © DSM